Lire un roman de John Grisham est l’assurance de passer un excellent moment. J’aime tellement tout ce qu’il fait que j’ai ressorti de ma bibliothèque tous les romans que j’ai déjà lus de lui, il y a une dizaine d’années quand j’ai commencé à lire du polar, pour pouvoir les lire à nouveau, avec un œil plus expert qu’à l’époque.
Je vous parle aujourd’hui du roman Les imposteurs, de John Grisham, publié aux éditions J.C. Lattès.
Je continue de lire autre chose que du nordique. C’est l’occasion pour moi de sortir des romans qui patientent gentiment dans ma PAL depuis un moment, et aussi de me remettre un peu à jour avec les auteurs français que je délaisse depuis plus d’un an maintenant.
Il me semble avoir tout lu de Claire Favan, et il me semble surtout avoir tout aimé ce que j’ai lu d’elle. Je n’ai toujours pas envie de lire du polar (et encore moins français), donc le roman psychologique me va très bien en ce moment !
Aussitôt commencé, aussitôt terminé, je vous parle aujourd’hui de La chair de sa chair, publié chez Harper Collins.
Vous pouvez également retrouver mes précédentes chroniques de l’auteure :
Je poursuis ma découverte de la bibliographie de l’auteur anglais R.J Ellory. J’ai envie de découvrir cette année tous les ouvrages de l’auteur, et je savoure à chaque fois ses romans avec une certaine délectation. Il y a quelque chose de terriblement poignant et d’accrocheur dans l’écriture de l’auteur, quelque chose que je ne trouve chez aucun autre.
Je vous parle aujourd’hui de Papillon de nuit, de R.J. Ellory, publié chez Le livre de poche.
J’vous présente Pétou, l’ours polaire qui m’accompagne depuis ma naissance, et qui explique, peut-être, mon amour pour le grand nord =)
Ai-je besoin de vous présenter une nouvelle fois la série Qaanaaq ?
A moins de débarquer pour la première fois sur mon blog, vous savez l’amour que je porte à cette série de polars, dont le premier ouvrage a été publié en 2018.
Mo Malø revient aujourd’hui avec Summit, je l’ai lu avant ma pause blog mais je n’avais pas pris le temps d’en parler car j’ai eu besoin de me mettre en retrait quelques semaines. Il est temps aujourd’hui de vous le présenter, et de vous en recommander évidemment sa lecture.
Le roman peut se lire de manière indépendante, mais ça serait fort fort fort dommage de ne pas lire les autres avant. Dans l’ordre : Qaanaaq, Diskø, Nuuk.
En toute fin d’article, je vous ai remis les liens vers tous les articles que j’ai écrits autour de cette série, chroniques et diverses interviews avec l’auteur, ainsi que ceux rédigés à quatre mains avec lui en 2019 lors de son voyage sur les traces de Qaanaaq au Groenland.
Je suis dans une période où je me force un peu à lire autre chose que du nordique. Déjà, parce que le retour en France a été un chouia compliqué moralement début avril, ensuite parce que ma PAL de nordique se résume à moins de dix romans et que j’ai juré craché que j’arrêtais les dépenses superflues pour les bouquins. Ma PAL est composée d’une cinquantaine de romans, il faut à tout prix que je fasse descendre ça sous les 15 avant d’en racheter !
Je lis de moins en moins de polar, préférant ces derniers temps les thrillers, et plus particulièrement les psychologiques. Barbara Abel est une experte en la matière et j’aime, voire j’adore, ce qu’elle écrit.
Je vous parle aujourd’hui du dernier roman de l’auteure belge Barbara Abel,Les fêlures, publié chez Plon.
Il est temps de reprendre mes chroniques ! 17 articles vont être publiées sur les trois prochaines semaines, du bon, du moins bon et pas de nordique cette fois ! Il fallait que je coupe un peu avec les ouvrages du nord à mon retour de Norvège, pour me tourner vers d’autres horizons littéraires.
La première chronique à être publiée est celle d’un ouvrage très attendu car c’est le petit dernier de l’auteur suisse Joël Dicker. Je n’avais lu qu’un seul roman de lui L’affaire Québert, bien avant l’existence de mon blog. Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas continué avec ses autres romans car il m’avait passionnée à l’époque et, chose rare pour moi qui ne regarde pas vraiment la télé, j’ai même regardé la série tirée du bouquin au moment de sa diffusion. A force de voir passer partout L’affaire Alaska Sanders, les chroniques positives, l’auteur dans les médias, et de voir à chaque fois que j’entre dans une grande surface ou un magasin le livre en tête de gondole, j’ai eu envie de tenter et.. J’ai bien fait !
Je vous parle aujourd’hui de L’affaire Alaska Sanders, de Joël Dicker, publié chez Susie Wolfe.
Publication un peu plus personnelle, c’est rare que ça arrive…
Je n’ai ni envie de rédiger mes articles en retard, ni d’être connectée ici, sur Facebook ou Instagram. J’ai n’ai pas envie de faire mes photos, ni même de m’intéresser à quoi que ce soit au niveau littéraire.
Voilà un moment que je n’avais pas lu de polar islandais, et pour cause, j’ai lu presque tout ce qui a déjà été traduit en français ! Les romans islandais qui atterrissent dans ma PAL ne font donc pas long feu, et passent un peu avant tous les autres.
Mon parcours de lectrice n’a pas été toujours très linéaire avec Yrsa Sigurðardóttir. Si j’aime en général à chaque fois les romans de sa série policière Freyjar & Huldar, ça se passe beaucoup moins bien avec sa série Þóra Guðmundsdóttir (Ultimes rituels et Bien mal acquis que je n’ai même pas chroniqué car je l’ai abandonné avant la centième page).
Le trou est le quatrième roman de la série Freyjar et Huldar, et ça s’est superbement bien passé entre lui et moi. Vous pouvez le lire de manière complètement indépendante sans avoir lu les précédents. L’ordre de lecture est le suivant :
ADN (que je n’ai pas encore lu mais je vais l’acheter prochainement)
Je suis de retour ! Vous êtes très nombreux à avoir suivi mes aventures norvégiennes via mes stories sur Instagram et je vous remercie pour votre enthousiasme et votre intérêt énormes !
Je suis partie avec 4 romans dans ma valise, je n’en ai pas lu un seul en entier et pour cause, mes journées et mes nuits polaires ont été chargées et quand je pouvais enfin me poser tard le soir, je dormais !
Je vous ai déjà parlé à plusieurs reprises de cet auteur norvégien que j’ai découvert l’an dernier avec sa série Wisting, et c’est un plaisir de retrouver tome après tome cet enquêteur que j’apprécie beaucoup.
Je vous parle aujourd’hui de l’avant-dernier roman de Jørn Lier Horst traduit en français, Le code de Katharina, paru chez Folio.
Pour découvrir mes précédentes chroniques de l’auteur :
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