Première chronique du mois d’août, toujours du nordique (ça va avec la météo et la soupe courgette Kiri Kiri Kiriiiiii qui accompagne mes repas ces derniers jours – 16 degrés aujourd’hui en Lorrainehein).
J’ai lu il y a quelques semaines La fille dans le marais de Satan, dernier ouvrage traduit en français de cette série suédoise, j’avais beaucoup aimé et j’avais alors décidé de reprendre tout depuis le début en les lisant dans l’ordre cette fois. Autant vous le dire de suite, ça ne s’est pas très bien passé entre lui et moi…
Je vous parle aujourd’hui de Morte la bête, de Lotte & Søren Hammer, publié chez Babel noir.
On va la faire ultra rapide méthode arrachage de sparadrap, ça fait mal, mais ça passe rapidement… Je n’ai pas envie d’écrire un pâté sur un bouquin que j’ai arrêté à la centième page alors je vais être aussi brève qu’un tweet dans ma chronique… C’est un abandon pour cause de « je m’ennuie à mourir » et « je ne trouve pas d’intérêt à ma lecture ».
Chronique la plus courte de l’histoire de mon blog, parce que quand il n’y a rien à dire, on ne va pas broder une thèse, antithèse et synthèse juste pour faire des lignes.
J’ai découvert Nicolas Druart lors de la parution de son tout premier roman Nuit blanche qui avait été une belle découverte pour moi. Je suis depuis le parcours de ce jeune auteur français bourré de talent, et il était grand temps que je découvre son troisième roman salué par de nombreux lecteurs sur les réseaux sociaux depuis sa parution.
C’est une chronique difficile à écrire parce que je n’ai pas aimé ce roman, ni sur le fond ni sur la forme, et que j’en suis la première déçue vu les bons souvenirs que j’avais des autres…
Je vous parle aujourd’hui de L’enclave, de Nicolas Druart, paru chez Harper Collins.
Voilà déjà quelques jours que j’ai terminé le second roman de la série de Lars Kepler, malheureusement la déception étant à la hauteur de mes attentes après le coup de cœur que j’ai eu pour L’hypnotiseur, j’avoue ne même pas avoir eu envie de rédiger l’article tant je n’ai pas aimé ce roman. Pourtant, si j’ai décidé un jour de tenir un blog, c’est pour faire part de tous mes ressentis de lecture, y compris quand ils sont négatifs, vous commencez à en avoir l’habitude avec moi.
C’est une chronique cinglante que je publie aujourd’hui, je n’ai rien aimé dans ce bouquin et je suis même en colère d’avoir vécu une telle déception après L’hypnotiseur.
Je vous parle du roman Le pacte, de Lars Kepler, publié chez Acte Noir/Acte Sud.
Me voilà sacrément embêtée pour écrire cette chronique.
Je suis dans une période de boulimie littéraire et j’enchaîne en ce moment tous les ouvrages nordiques qui me passent sous la main. Navrée pour ceux qui n’aiment pas ça =)
J’ai lu Le dernier lapon d’Olivier Truc il y a des années de ça, probablement au moment de sa sortie en poche. Je n’avais pas de blog encore mais je me souviens avoir craqué sur la couverture où l’on voyait un rêne sous une aurore boréale. Je me souviens que j’avais pas trop mal accroché, mais visiblement pas assez pour me donner envie de lire la suite.
J’ai trouvé deux exemplaires du second ouvrage de la série dans ma PAL de la honte, une PAL oubliée des années dans un meuble à l’étage, et je me suis dit qu’il fallait quand même que je reprenne, d’autant plus que l’auteur vient de publier le quatrième de la série tout récemment chez Métailié.
Pourquoi suis-je donc embêtée alors pour rédiger cette chronique ? Ben parce que, au risque de faire accoucher prématurément et de colère ma grande copine Lucie (Honolu_lit) qui est archi fan de la série, ben ça s’est très moyennement bien passé entre lui et moi…
J’ai commencé ma chronique en disant que j’étais mi-figue mi-raisin, mais à la lecture de l’article terminé, j’ai bien compris que le négatif avait pris le pas sur le positif et que finalement ma lecture a été un flop.
Je vous parle aujourd’hui du roman Le détroit du Loup, d’Olivier Truc, publié chez Points.
Mars, moi hyyyper chargé, je n’avais pas lu autant un même mois depuis… Très longtemps ! Il faut en effet remonter jusqu’à juillet 2020 pour trouver un bilan lecture aussi fournie, car je tourne habituellement à 6 ou 7 romans par mois… Là j’ai pété tous les scores avec pas moins de 11 lectures !
« Mais comment tu fais pour lire autant ? ». La question est venue de manière récurrente ces derniers temps sur mes réseaux sociaux. Je réponds que je ne regarde pas la télé, je quitte le boulot à 16h et je n’ai plus de temps de trajet, je suis seule de 7h à 19h30 en moyenne tous les jours, et souvent aussi le samedi car Monsieur Serial a un boulot hyper prenant, et enfin ma vie sociale est réduite à néant pour cause de vous savez quoi et de « je suis asthmatique ne me contaminez pas et ne m’approchez pas tant que je suis pas vaccinée » depuis un an ! Ajoutez en plus des insomnies régulières, et un temps de chacal en Lorraine en début de mois qui a fait que je n’ai pas sorti un orteil dehors… Il faut bien que je m’occupe, et je ne peux pas passer ma vie à faire des gâteaux au risque de finir obèse et diabétique ! Je ne m’oblige à rien, je lis quand j’ai envie, il peut m’arriver de ne pas ouvrir un bouquin pendant deux ou trois jours parce que je suis fatiguée ou que j’ai mieux à faire, mais il peut aussi m’arriver de lire un bouquin de 300 pages en une seule nuit car je n’arrive pas à dormir. Ce mois-ci j’ai eu envie de me plonger sans cesse dans la lecture histoire de faire l’autruche sur tout ce qu’il se passe. « Reste dans ta bulle » qu’on me dit régulièrement. J’y compte bien !
L’article sera bref, c’est un abandon pour cause de « je vais me laisser mourir d’ennui ». Je ne peux pas tout aimer ni m’extasier à chaque bouquin, et comme d’habitude je me réserve le droit de dire ce que je pense de toutes mes lectures et sans langue de bois.
J’ai lu toute la biographie de Camilla Grebe dans le désordre (pas bien !) et il ne me restait plus que celui-ci à lire. Si j’ai aimé tout ce que j’ai lu d’elle jusqu’à présent (Voir chronique d’Un cri sous la glace, L’ombre de la baleine, et L’archipel des larmes), j’y suis allée confiante avec celui-ci… Peut-être un peu trop !
Je vous parle aujourd’hui du roman Le journal de ma disparition, de Camilla Grebe, publié aux éditions Le livre de poche.
Je laisse un peu mes chroniques de côté ces dernières semaines parce que je passe mes journées à bosser sur un PC, et je n’ai pas envie de rester connectée après le télétravail ou le week-end et je préfère m’adonner à d’autres activités loin de toute connexion internet.;;
Cette chronique sera rapide car c’est un abandon, le premier de l’année, il en fallait bien un…
Je vous parle aujourd’hui de Bondrée, d’Andrée A. Michaud, publié chez Rivages noir.
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