Contrairement à tout ce que nos parents nous ont inculqué quand on était jeunes , ce roman est la preuve que parfois, la beauté extérieure est plus importante que celle de l’intérieur. Il est clair que je ne m’attendais pas à lire de la grande littérature en démarrant ce roman. Mais quand même !
Ce livre m’aura permis d’entériner un fait : les polars et moi, c’est terminé, et pour encore très longtemps.
Je suis le genre de lectrice qui, quand elle découvre un auteur qui lui plait, fonce tête baissée en librairie et achète toute sa bibliographie. C’est comme ça que je me suis retrouvé à acheter un polar de Lucinda Riley, sans le savoir, étant donné le fait que je n’avais même pas lu la quatrième de couverture. Je me suis dit « il est court, il est de Lucinda Riley, c’est pour moi ça ! ».
Bon… J’ai tenté, malgré mon aversion pour le thriller et surtout le polar depuis près de deux ans et force est de constater que je ne suis toujours pas prête à revenir à ce qui fut, durant longtemps, mon genre de prédilection.
Ma chronique ne va pas être bien longue car je ne vais pas chercher à vous donner l’envie ou pas de l’acheter… Je vous parle aujourd’hui de l’unique polar de Lucinda Riley, Les mystères de Fleat House, publié aux éditions Le livre de poche.
Habituellement j’aime tout ce que publie John Grisham. Mais pas cette fois.
Les thrillers de l’auteur américain ont la particularité de se dérouler dans le milieu judiciaire et je trouve toujours fascinante cette capacité qu’il a à nous plonger dans ce milieu qui peut paraître inabordable pour des personnes qui n’en font pas partie.
J’ai terminé ce roman parce que tout ne m’a pas déplu, mais je reste sur un ressenti majoritairement négatif cette fois.
Je vous parle aujourd’hui du roman Le cas de Nelson Kerr, de John Grisham, publié chez JC Lattès.
J’aime les thrillers judiciaires depuis que j’ai découvert au début des années 2010 John Grisham, grand maître du genre.
Je suis tombée un peu par hasard sur ce bouquin alors que je cherchais une nouvelle lecture, et mon ressenti n’est vraiment pas terrible… Force est de constater que n’est pas John Grisham qui veut.
Ma chronique ne sera pas bien longue car j’ai été autant inspirée pour l’écrire que durant ma lecture, c’est-à-dire pas des masses !
Je vous parle aujourd’hui de Tenir, de Graham Moore, publié chez Calmann-Lévy.
J’avais envie de faire une petite incursion dans le polar US ces derniers jours et j’avais envie de découvrir cet auteur depuis un moment, n’ayant jamais rien lu de lui.
On va la faire rapide, c’est un abandon pour moi cette fois donc ma chronique sera courte.
Mon article ne va pas être bien long, car je suis autant inspirée pour rédiger mon article que par ma lecture, c’est-à-dire pas du tout…
Si j’ai beaucoup apprécié les deux premiers romans que j’ai découverts de l’auteure, La nanny et Je sais que tu sais, celui-ci a été nettement plus compliqué… ça arrive !
Je vous parle aujourd’hui du roman de Gilly MacMillan, Les meilleurs amis du monde, publié chez Pocket.
J’ai décidé de faire honneur à mes origines polonaises cette année en découvrant mon premier thriller polonais.
Zygmunt Miloszewski est connu pour sa série Teodor Szacki. Deux romans de cette série composent ma PAL, mais j’ai eu envie de démarrer avec un one shot sorti cette année, d’autant plus que la couv’ glaciale me plaisait beaucoup.
Pas de faux suspense, c’est un rendez-vous manqué entre l’auteur polonais et moi, et ma lecture ne s’est pas très bien passée !
Je vous parle aujourd’hui d’Inestimable, de Zygmunt Miloszewski, publié chez Fleuve.
Bon. C’est un peu en dent de scie entre Arlidge et moi. Si je devais résumer le premier, Am Stram Gram je dirais « Mouais… », le deuxième Il court, il court, le furet, par « Whaoooooouuuuu », celui sera « pfiiioooout » (bruit d’un soufflé au fromage qui s’effondre parce qu’il a été sorti trop rapidement du four).
Je vous parle aujourd’hui de La maison de poupée, de M.J. Arlidge, publié chez 10/18.
J’ai publié hier la chronique de 3 secondes, premier ouvrage de la trilogie des auteurs suédois Roslund & Hellström. Si vous l’avez lue, vous avez compris que j’ai été absolument conquise par le premier ouvrage de la série. Ca n’est clairement pas le cas avec le deuxième, que j’ai terminé dans la souffrance, et qui ne me donne pas envie de me jeter sur le troisième et dernier opus dans la foulée !
Je vais tenter ici de vous expliquer ce qui a bien pu se passer entre le premier « WTF j’adore ce bouquin » et le deuxième « Chéri si t’as besoin d’un truc à cramer pour allumer le barbuc, j’ai ce qu’il te faut !« .
Je vous parle aujourd’hui de 3 heures, de Roslund et Hellström, publié chez Le livre de poche.
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